journaling
24 nov. 2017réflexion sur l’écriture
Besoin de JOURNALING pour raconter plein de n’importe quoi. J’attends toujours d’avoir un truc, bien comme il faut, quelque chose d’intéressant à raconter pour commencer à écrire, résultat: j’écris pas.
C’est que je ne suis pas Zola, pas Bernard Clavel, ni Weber même si son univers ne m’est pas vraiment inconnu.
Finalement, dans l’écriture, il parait que c’est le fait d’écrire qui est bon, ce n’est pas forcément le contenu. Est-ce là, le fait de s’inviter dans l’instant présent? Est-ce que les mots (maux) s’envolent à la ligne?
Est-ce dû au geste mécanique? Au mouvement rotatoire du pousse et de l’index sur le crayon? La pression de mes petits doigts boudinés qui tapotent sur le clavier?
Bref, j’écris!
Quand journaling rime avec doodling (en français: gribouillage)
Dans le ménage, faut pas oublier les coins, ça! la ménagère le sait.
Hop hop hop…je m’y attèle.
Les fameux « corners »… à vos crayons mesdames et Messieurs (parce qu’aujourd’hui Monsieur n’a pas que les muscles, il a aussi un cerveau)… AH AH AH, je rigole bien sûr.